jeudi 18 juillet 2013

Jour 5 : Jaisalmer

La ville de Jaisalmer est construite en pierres de sable : "Yellow sandstones". Ce qui lui donne une couleur jaune - ocre. Les gens l'appelle d'ailleurs la Ville Dorée.

Les murs d'enceinte de la ville dorée.
En arrivant au loin hier, c'est ce qu'on a tout de suite pu remarquer. Aujourd'hui, nous avons pu profiter de la journée pour nous balader dans les rues de la cité fortifiée. Fortifiée car elle joue le rôle d'avant poste pour le pays, les ennemis Pakistanais n'étant qu'à une petite centaine de kilomètres, à l'ouest.

Le matin, Ram nous propose de nous emmener au Lac Gadisar.

L'entrée du Lac Gadisar.
Il s'agit d'un lac entouré de petits bâtiments, qui donne à l'endroit un côté relaxant. Il y avait d'ailleurs sur place quelques groupes d'Indiens qui profitaient du calme. Nous nous sommes ensuite rendu à l'intérieur de la forteresse, à pied.

Un autel, au centre du lac.
La ville est en fait découpées en trois parties :
- Le centre le plus ancien : la forteresse, inaccessible en voiture.
- La partie défendue par les murailles mais hors de la forteresse.
- Et la ville moderne, à l'extérieur des murailles.

Entrée dans la forteresse.

Visite d'un temple Jaïn à l'intérieur de la forteresse.
Nous logeons à l'extérieur. Nous avons donc d'abord traversé la partie intermédiaire, puis sommes entrés dans la forteresse. Il faisait très chaud, près de 45°. Ballade au calme des murs, sous le soleil de plomb.

Lecture du passage concernant le temple.
Au calme, au sein du temple Jaïn.
Clémence pose avec un prêtre Jaïn.
L'entrée de la ville vue du haut de la forteresse.
Nous deux, en haut des murailles de la forteresse.
Les maisons bleues sont celles des brahmanes.
Et le soir, direction un petit salon de massage pour nous relaxer et pour que Clémence se fasse faire un joli tatouage au henné. La petite touche douceur.

Le tatouage au henné de Clémence.
Une bonne journée de ballades, mais qui nous a coûté cher (surtout à Clémence et ses épaules !).

Sortie de la forteresse.
Des enfants dans la rue. Les yeux des jeunes filles sont maquillés, ce qui est assez étrange pour nous, occidentaux.
La vieille ville vue de notre chambre.

Jour suivant

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